Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute (29)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je suis chez Marie-Ange jolie fille noir qui vit chichement dans une soupente dans le 1er arrondissement de Paris.
Comme avec toutes les autres, depuis que jai jeté ma culotte par-dessus mon épaule, je la fais venir sur mon terrain de jeu favori en lui mangeant la chatte et la faire jouir.
Après quelle me fait voir ses talents de peintre sur ongles, je me prépare à retourner à linstitut.
Nous rions toutes les deux pendant que je me prépare.
Bien tu es daccord, tu annules tes rendez-vous, tu fais, ta valise et demain soir, je passe te prendre devant chez toi vers dix-huit heures quinze après la fermeture de linstitut pour le mois daoût.
Je temmènerais chez la propriétaire de linstitut qui habite à Chennevières où elle mhéberge depuis mon divorce.
Le dimanche, nous partirons en passant par la porte dOrléans rejoindre un couple damis qui vient avec nous.
Ça peut te paraître confus, mais nous sommes une bande de copains et surtout de copine qui adore passer de bons moments ensemble.
Tu verras bien, demain soir, tout te paraîtra plus clair. Surtout, fais-moi confiance. Je vais tout faire avec mes amies pour que ta vie devienne un soleil, celui de ton pays et de ton sourire.
Elle me regarde avec ses grands yeux pleins damour et membrasse tendrement.
Daccord, je te fais confiance.
Avant que tu partes est-ce que, je peux te poser une question.
Oui bien sur.
Pourquoi portes-tu ce collier avec un anneau ?
Et ma belle, je te lexpliquerais bientôt, mais ce serait trop long maintenant et mon travail mappelle mon cur. Là, encore fait moi entièrement confiance.
Au fait, prends ton maillot de bain, ma villa domine la plage et nous pourrons largement en profiter.
Je la quitte à regret en lui disant encore à demain.
Un gros baisé, je suis parti.
Arrivées à linstitut, les copines me demandent ce que jai fait.
Anne voit mes ongles.
Quils sont beaux, où as-tu fait ça ?
Surprise, vous verrez bien, je vous dirais tout mis, vous attendrez demain.
Virginie, tu es sans cliente avant quinze heures, je peux te parler.
Oui, ma biche vient dans le bureau.
Elle va nous chercher deux cafés et nous nous installons dans les fauteuils.
Bien jai plusieurs choses à te dire.
Tu sais que Pedro ma commandé un collier avec une laisse et des saphirs roses pour lanniversaire de sa femme Julietta en septembre.
Je le sais et je te lai dit, il a appelé les bureaux qui mont transféré son appel.
Il ma félicité pour la qualité des prestations que vous avez fournies. Sa femme est très élogieuse envers vous.
Il ma parlé de la commande quil ta passée.
En même temps, il ma demandé si je pouvais programmer une visite à Marbella où ils habitent à la fin septembre avec vous deux pour son anniversaire à vos tarifs habituels.
Je pense dailleurs que je viendrais avec vous sans me faire payer. Une soirée en Espagne en fin de saison avant lhiver me plaira énormément.
La Russie, lEspagne, en septembre, les voyages forme la jeunesse.
Sans compter, vu la bonne réputation que vous avez auprès des clients que vous risquez davoir à honorer de très nombreux contrats.
Je suis donc passé cher notre maroquinier pour passer la commande. Tout sera prêt à notre retour de vacances.
Après jai téléphoné à une dame que tu dois connaître puisquelle est cliente chez nous.
Elle mavait fait comprendre lorsquelle est venue avant notre voyage en Espagne que sur sa fiche lordinateur contenait son numéro de portable et quun appel de ma part lui ferait énormément plaisir.
Tu connais la belle salope dont grace à toi je suis devenu et je ten remercie mille fois.
Ce matin jai craqué, je lai appelé.
Je lui explique, comment jai réussi à lui brouter la minette alors quelle soccupait de la mienne.
Sur sa porte, il y avait une carte ou il était indiqué « Marie-Ange Manucure ».
Elle ma proposé de me faire les ongles que tu peux voir.
Elle a une petite clientèle à domicile qui lui permet juste de survivre selon les mois.
Cest magnifique, elle a beaucoup de talent.
Jai remarqué la nouvelle mode des ongles peints. Des clientes mont demandé si nous pratiquions ses peintures sur ongles.
Et alors ma Virginie chérie, tu en déduis.
Oui, tu as raison dans le cadre de lextension de linstitut si elle est disponible, on lembauche et dans notre catalogue de soins, nous ajoutons « Manucure et peinture sur ongle ».
Bravo Virginie, tu as eu seule lidée de lembauche de Marie-Ange.
Cest normal, cest toi la patronne, cest toi devant le personnel qui décide des embauches.
Jajoute que, lorsque au restaurant, jai fait la proposition de lembauche dAline à linstitut et de Madeleine à la maison pour la remplacer, jétais mal à laise, car devant les autres filles, jai eu peur que tu pense que je voulais prendre lautorité sur toi.
Si Marie-Ange est embauchée, tu aurais pris seule la décision.
As-tu déjà vu Marie-Ange jeune femme guadeloupéenne lorsquelle vient se faire épiler ?
Jeune femme noire, je pense.
Oui, une magnifique femme black.
Grande et belle.
À faire bander les mecs.
Ma belle, je te vois venir, tu penses à lorganisation.
Une jeune femme divorcée très vicieuse, une grande aux cheveux presque rouges avec autant de vices, deux poupées eurasiennes et maintenant une belle Antillaise ma Virginie, tu auras eu un maximum didées lumineuses en quelques semaines.
Viens dans mes bras, je peux te dire que je me glorifie de tavoir frôlé ta minette lorsque tu es venu faire des soins chez nous.
Quand pourrons-nous la rencontrer pour parler dun contrat au sein de notre groupe ?
Euh, quand, euh, euh
Toi je commence à te connaître, tu as eu une autre idée.
Euh, ben, elle avait très peu de clientes en août, je lai invitée à venir avec nous à Saint-Palais, nous passerons la chercher en bas de chez elle demain soir, elle passera la soirée avec nous.
Anne ma prévenu lorsque nous venions ce matin que, ce soir elles dormiront chez Anne afin de préparer les bagages et que, demain elles resteront chez leurs parents quelles quitteront pendant un mois.
Le papa va nous les amener dimanche matin avec la petite.
Donc ce soir nous serons seuls avec Madeleine
Que nous, réserve Virginie comme surprise
Nous sortons du bureau et chacune vaque à ses occupations.
La soirée arrive rapidement.
Odile et Antoinette partent ensemble comme tous les jours.
Véronique va vers chez elle, je lui ai proposé de la conduire en voiture, mais elle a des courses à faire le long du chemin.
Nous partons pour déposer Anne et Aline à leur appartement.
Puis nous rentrons au pavillon.
Lorsque nous arrivons Madeleine cuisine. Elle est nue.
Elle vient nous embrasser presque sur la bouche pour moi.
Au dernier moment elle évite.
Nous nous mettons nues et toutes les trois, nous préparons le repas.
Installé sur le canapé, Madeleine au milieu de nous, nous souhaitons quelle nous raconte les grandes lignes de sa vie comme sétait entendu avec Virginie.
Elle a lair gêné.
Pour la mettre en confiance, je lui embrasse le bout du nez.
Elle a un petit sourire.
Je vais vous expliquer quelle a été ma vie depuis vingt deux ans, sans rien vous cacher.
Je suis née sans une famille de dix s. Trois filles et sept garçons.
Nous habitions dans une cité près de Nanterre.
Toute ma jeunesse, jai eu as supporter mes frères et mon père qui fainéantait toute la journée étant sans travail et faisant tout pour surtout éviter den trouver.
Un après-midi, mon père est parti au bistro comme tous les jours.
Je venais davoir seize ans.
Le frère de mon père est venu à la maison et ma violé.
Sans que je comprenne ce quil marrivait lorsque après avoir arraché ma culotte, jai senti quelque chose me pénétrer lentre jambes.
Jai eu très mal et je me suis mise à pleurer.
Sans voir et comprendre ce qui sétait passé, jai entendu un grand cri et le poids de lhomme qui était sur moi, est devenu plus important.
Dun seul coup, je plus de poids sur le corps, jai vu mon père avec à la main son cran darrêt quil avait toujours dans sa poche, rouge de sang.
Il venait de son frère. Il a été condamné à quelques mois de prison.
Jai été accusé par ma mère davoir provoqué cet homme.
Elle ma fait placer dans un foyer pour lenfance.
Le jour de mes dix-huit ans, ils mont viré et jai dû assumer ma vie.
Les services de lenfance mont trouvé un placement dans une famille comme bonne à tous faire. Surtout faire du bien au monsieur.
Il était expert-comptable place Péreire dans le dix septième arrondissements.
Son cabinet était dans leur appartement. Il avait trois employés.
Sa femme travaillait chez un notaire à deux pas de chez eux.
Tous les jours, dès quelle était partie, javais droit à sa visite au fond du couloir dans loffice.
Jai bien essayé de le repousser les premiers jours en le menaçant de tout dire à sa femme.
Jétais logé par le couple dans une chambre de bonne au-dessus du logement de mes patrons.
Au bout dune semaine, je pensais être tranquille, mais ce matin-là, il est revenu à loffice et ma coincé au bord de la table.
Depuis que je métais fait violer chez mes parents, javais évité les garçons.
Il ma mis sa main sous ma jupe.
Si tu résistes, je dis à ma femme que je tai vu voler dans son porte-monnaie et tu seras envoyé à la rue.
Il a voulu prendre ma bouche, mais jai toujours refusé.
Il ma retourné, ma plaqué les seins sur la table, il est entré en moi sans précaution.
Moins de deux minutes daller et retour dans mon vagin et il a éjaculé sans aucune précaution.
Il ma obligé pour les jours suivants, dêtre toujours prête et de descendre sans culotte pour quil ait plus facile à prendre ma chatte.
Un matin, il est entré dans mon anus. Jai eu tellement mal, que jai cru quil mavait déchiré le cul.
Personne ne mavait donné de contraception.
Je suis allé voir une doctoresse voisine et je lui ai demandé de me donner la pilule sans lui dire que mon patron abusait de moi.
Ce manège a duré plus dun mois. Il ma même obligé à lui sucer la queue et à avaler son sperme, cétait dégoûtant.
Je me lavais la bouche pendant dix minutes chaque fois, mais javais son goût toute la journée chaque fois quil le faisait.
Un jour il ma voulu nue dans la chambre et dans le lit conjugal.
Après mavoir obligé à faire cela, nous avions pris lhabitude dy aller tous les jours.
Un matin où il me baisait en levrette, la porte sest ouvert et sa femme est entrée.
Elle ma donné deux heures pour quitter leur domicile.
Je me suis trouvé dans la rue sans savoir où aller et que faire.
Javais en poche les euros mis de côté.
Je me suis déplacé avec mes deux baluchons jusqu'à la gare de lEst.
Jy suis resté deux jours. Je dormais dans la salle dattente.
Au bout de ces deux jours, je me suis dit que si je laissais filer ma vie et quil fallait que je me reprenne en main, sinon je courrais à la déchéance.
Jai mis mes baluchons dans une consigne.
Lors dune sortie dans lancien quartier où je travaillais, javais repéré une agence pole emploi, Avenue de Clichy.
Je my suis rendu. Jai consulté les annonces dembauche.
Un poste de femme de ménage pour une société de grand nettoyage était proposé pour six mois.
Jai pu avoir le poste. Pendant un mois jai travaillé dur surtout la nuit.
Javais trouvé une chambre dans un hôtel glauque de Pigalle.
Jour et nuit jentendais des gens monter et descendre.
Jai rapidement constaté que les femmes qui accompagnaient les hommes étaient toujours les mêmes. Jétais tombé dans un hôtel de passe et ces filles étaient des prostitués.
Pour men convaincre, il me suffisait dentendre les conversations à travers les mures des chambres voisines.
Allez mon biquet vient laver ta bitte.
Bref, personnes mennuyaient et cétait le principal.
À force de chercher, jai trouvé une brave dame qui pleine de prévoyance ma loué un espace sous les toits de cinq mètres carrés. Une vraie négrière.
Mais jétais tranquille et mon salaire couvrait le loyer.
Bien sûr, avec ce quil me restait, je mangeais quun jour sur deux.
Enfin, je vivais.
À la fin de mon contrat, jai eu deux mois de chômage et jai retrouvé un poste dans le nettoyage pour un contrat de huit mois.
Jai survécu comme cela pendant presque deux ans.
Un garçon qui travaillait dans une boîte a commencé à me faire du charme.
Jai craqué rapidement. Je pense que vous pouvez comprendre que, lorsque lon a goûté au sexe même contraint, on a du mal à sans passer.
Il vivait dans deux pièces vers la gare du Nord.
Jai quitté ma soupente pour emménager chez lui.
Jai eu de bons moments avec lui. Même si son principal plaisir était de me prendre dans nimporte quelle position toutes plus étranges les unes ou les autres.
Il a même installé un système de poulies afin de me suspendre comme sur une balançoire et me pilonner chaque fois que mon sexe atterrissait sur sa verge.
Je rigolais au début, mais rapidement, on se lasse.
Jai perdu de nouveau mon travail et au bout dun mois où je ne trouvais rien, il a commencé à se plaindre que je nétais bonne quà me faire entretenir.
Il est devenu violent et les coups ont plu de plus en plus souvent.
Puis il y a quelques jours, il ma mis dehors sans me donner mes affaires, car il avait certainement trouvé une autre chatte à baiser.
Je me suis vu revenir au jour où je me suis retrouvée gare de lEst sans travail et logement.
Jai eu envie dun café pour me remonter en fin daprès-midi.
Pourquoi, ai-je choisi un café plutôt quun autre ?
Pourquoi ai-je choisi une table plutôt quune autre ?
Pourquoi ai-je accepté quune inconnue sasseye à ma table ?
Et pourquoi jai accepté daller chez eux ?
Là je le sais et je peux le dire.
Ce couple ma donné limpression dêtre un couple sans perversité.
Jai accepté de les suivre.
Quand Serge le mari aidé dAntoinette ma déshabillé pour me faire lamour, jai trouvé cela, nécessaire pour leur équilibre, car jai compris après ce que sa femme avait fait dans le café avant de maccoster de se faire un client devant les yeux de son homme.
Il ny avait rien de choquant dans les gestes que nous faisions
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